30e journée de la liberté de la presse : Dr Alfred Dan Moussa : « la liberté de la presse en Côte d’Ivoire est une réalité »
30e journée de la liberté de la presse : Dr Alfred Dan Moussa : « la liberté de la presse en Côte d’Ivoire est une réalité »
La liberté de la presse, a maintenant 30 ans. Cette journée commémorative mondiale est célébrée en Côte d’Ivoire par l’Union nationale des journalistes (unjci).
À cette occasion, un panel a été organisé, ce mardi 02 mai à la maison de la presse d’Abidjan, sous le thème : « Façonner un avenir de droits : la liberté d’expression comme moteur de tous les autres droits de l’homme. »
En ce jour spécial, le président de l’UNJCI, M. Jean-Claude Coulibaly a indiqué qu’il est important de se mobiliser pour la liberté de la presse en Côte d’Ivoire. Pour mieux cerner les enjeux de cette lutte de la liberté d’expression, deux sous-thèmes ont été abordés.
« La liberté de la presse en Côte d’Ivoire : Mythe ou réalité », une thématique développée par le directeur de l’ISTC polytechnique, Dr Alfred Dan Moussa. Il a de prime abord donné les canons de la liberté de la presse en Côte d’Ivoire.
Après un profond exposé, le directeur a conclu que la liberté de la presse est une réalité en Côte d’Ivoire. Car, les autorités ont accordé l’aisance aux journalistes et professionnels de la communication.
« La liberté de la presse en Côte d’Ivoire en 2023 n’est pas un mythe, elle est une réalité. (…) Nous n’avons pas de journaliste en prison, ni institution médiatique fermée », a déclaré Dr Alfred Dan Moussa.
A cet effet, Dr Bamba Sidiki, enseignant-chercheur à l’université FHB de Cocody s’est prononcé sur le thème : « Le lien entre la liberté d’expression et les autres droits de l’homme. » Pour lui, cette liberté est fondamentale dans la constitution de l’humanité. Toute liberté est importante et mérite d’être respectée.
Un défilé de réclamation de la liberté de la presse est prévu pour le mercredi 03 mai à Cocody précisément à la maison bleue (RTI). Le but de cette célébration est de permettre aux possesseurs du 4e pouvoir de mener librement leur mission d’information.
Ousseni Sawadogo