Korhogo / Gestion efficace des pesticides : 120 acteurs opérationnels d’agropole renforcent leurs aptitudes

Korhogo / Gestion efficace des pesticides : 120 acteurs opérationnels d’agropole renforcent leurs aptitudes

29/05/2024 - 18:44
Korhogo / Gestion efficace des pesticides : 120 acteurs opérationnels d’agropole renforcent  leurs aptitudes
Korhogo / Gestion efficace des pesticides : 120 acteurs opérationnels d’agropole renforcent leurs aptitudes

Un atelier de renforcement des capacités a réuni le jeudi 23 mai 2024 à Korhogo, près de 120 acteurs opérationnels d’agropole de l’ANADER et du ministère de l’Agriculture issus du  district autonome des savanes.

Organisée par le ministère d’Etat, ministère de l’Agriculture, et du Développement rural et des Productions vivrières, l’activité s’inscrit dans le cadre du programme de production alimentaire d’urgence- Côte d’Ivoire (2PAU-CI). Cette formation de haut niveau concerne la lutte intégrée et  la gestion des pesticides pour la mise en œuvre du plan de gestion des pestes et pesticides, PGP au sein des agropoles de Yamoussoukro, Korhogo et Odienné.

Le but  global à atteindre est de renforcer le savoir des participants en lutte intégrée et gestion des pesticides pour une agriculture ivoirienne plus performante sans risques. Le Chef de mission, Paulin Angaman Bouadi a déclaré que la formation  permettra de résoudre le problème récurrent d’emballages  des produits phytosanitaires disséminés çà et là dans les champs après utilisation.

Une négligence à combattre d’autant qu’elle représente de vraies menaces pour la santé de l’homme et celle de l’environnement. Fort d’un tel constat, Bouadi Angaman a émis le souhait de voir les séminaristes mettre en pratique les acquis de l’atelier dans l’accomplissement de leur rôle de techniciens de la culture.

Pour sa part, Bognan Kouassi, secrétaire exécutif de l’association des entreprises nationales phytosanitaires de Cote d’Ivoire (ANAPH-CI) a développé des modules sur les notions de lutte intégrée, la classification des pestes et les ravages que subissent les  cultures.

DAVID KONE Correspondant